Konrad ??? [Lycan]

► Nom: Personne ne le sait, lui-même s’en fout pas mal
► Prénom: Konrad
► Âge: 23
► Sexe: Masculin
► Nationalité:(y a qu'un n et pas de e ) Allemand
► Orientation sexuelle: Tout-ce-qui-passe-sexuel
► Race: Lycan



► Caractère : en vingt mots comme un seul : agressif. Vous voyez un jeune chien fou ? Bon. Vous ajoutez la rage, une certaine dose d’insanité, et vous aurez un cocktail explosif qui agite les neurones de notre jeune allumé. Il était tout à fait sain d’esprit, fut un temps, quand personne ne lui avait mordu les miches. Mais une chose en entrainant une autre, il a complètement tourné la carte et réagit de manière excessive et brutale à son environnement. Le fait qu’il soit enfermé accentue tellement les choses qu’aucune piqûre au monde (sinon une létale) ne saurait faire en sorte de calmer les choses. Lui qui aimait le grand air, ces quatre murs le rongent au point que les injections ne font que le ramener à sa brutalité de base, au lieu de le calmer complètement.

► Signes particuliers ? : Super violent ? XD C’est pas assez clair ? XD

► Physique : grand jeune homme blond aux cheveux mi longs, dotés d’une frange sous laquelle il cache parfois son regard, athlétique, entraîné à survivre au grand air. Pas mal musclé, une forme herculéenne propre à sa race. Il a les yeux bleus, qui passent à l’argenté, formant deux billes qui rappellent le pourquoi du comment de la transformation, l’astre lunaire, tout ça (oh comment j’ai fini ma phrase en poésie).
Il a des tatouages tribaux qui lui ont été fait par la meute qui est responsable de sa lycanthropie (j’ai failli sortir un truc genre « loupgaroutisation »). Il porte en général des accessoires genre baguouses ,etc, en acier, bien sûr. Pas d’argent, messieurs dames, même pas en rêve. Il s’habillait souvent en rouge sang, ça évite les lessives inutiles. Mais bon, comme ça le gavait de devoir se racheter des fringues tout le temps (surtout que vu sa tronche il passait pas super inaperçu même dans les magasins grunges) il a opté pour un gilet rouge, toujours ouvert, ça évite les vêtements serrés qui craquent quand on fait grou.

► Signes particuliers ? : Tatouages tribaux. Sur le torse, sur les bras, les jambes. Il avait de longues lames pour compenser les super-griffes qui ne lui poussaient qu’à la pleine lune. Mais on les lui a bien sûr retirées. Il ne lui reste que ses griffes classiques (mais efficaces).

► Votre Histoire : Konrad était un étudiant normal… Un peu branleur sur les bords, mais normal, donc, à l’Université de Köln. Jeune homme bien dans ses pompes, il avait une famille qui l’aimait, une bande de pote avec qui il faisait des fiestas à finir à vomir partout sur le campus, bref, il était peinard. En master d’anglais à l’Université, il profitait de l’allègement de son programme, non pas pour trouver un job ou bosser sur son mémoire, mais pour faire de plus en plus de chouilles improvisées, de soirées à glandouiller sur le campus, une bouteille de bière à la main. Après une soirée bien arrosée, il perdit son petit groupe, aux abords d’un des parcs de la ville. Son radar étant embrouillé à cause de l’alcool, il se décida à entrer dans le parc, croyant entendre les voix de ses potes sur l’allée principale.

Tournant en rond, vaguement nauséeux, il s’arrêta aux abords d’une poubelle, pour reprendre ses esprits. Son esprit s’alarma, malgré l’alcool. Quelque chose clochait. Il n’entendait plus un son. Plus un bruit. Pas un corbeau, pas une voix, pas un murmure. Rien. Rien d’autre que le vent. Il dessaoula d’un coup, sur le qui-vive, cherchant la raison de ce silence lugubre et soudain. Mais si son esprit était en alerte, son corps, lui, était toujours sous l’emprise de l’alcool, et quand il voulut se retourner, il tomba en trébuchant sur le pied de la poubelle (putain de machins de tri sélectifs avec leurs pieds en métal et leur sachet à la noix !) A la lueur de la pleine lune, il aperçut des pieds à forme vaguement humaine, mais beaucoup trop poilus pour un être humain normal. Il sentit une douleur vive et atroce dans l’épaule, et sombra dans l’inconscience. Il se réveilla, au petit matin, au milieu d’un groupe de ce qu’il prit d’abord pour des punks. Ceux-ci leur révélèrent leur identité, à grand coup de sarcasme et de baffes dans la tronche, et ils finirent par lui faire passer quelques rites d’initiation, jusqu’à la prochaine pleine lune. Subissant brimades sur brimades, séquestré pour ne plus avoir de contact avec sa famille, il perdit lentement la raison, cédant tantôt à la rage, tantôt à la panique, pour finir totalement conditionné à la pleine lune suivante. Ils le lâchèrent en plein milieu de ce même parc dans lequel on l’avait coincé, et il sentit sa colonne vertébrale passer de la matière osseuse au plomb en fusion. Il tomba à genoux, hurlant, mains à terre, et les vit sous ses yeux ébahi se couvrir de fourrure, se recourber, et se doter de griffes à mesure que la douleur se propageait dans tout son corps sous la forme d’une brûlure et de l’infâme sensation que ses membres s’allongeaient, s’étiraient, en arrachant ses muscles qui devenaient trop petits pour des membres trop grands.

Ravagé par la douleur et la haine, il commit cette nuit là son premier meurtre, un joggeur nocturne qui avait le malheur de passer par là. Le lendemain, il fut amené chez le tatoueur pour sceller son appartenance au groupe. La loi du sang avait parlé, il était une bête féroce comme ses mentors. Ce meurtre acheva de ruiner ses derniers neurones de bon sens, et il se fit de plus en plus violent, sanglant et bestial à mesure que les souvenirs de son insouciante vie passée s’effaçaient. Il finit par quitter le groupe qui ne pouvait plus le maîtriser, et se fit pincer misérablement au bout d’allez savoir combien de meurtres, le museau ruisselant de sang dans les tripes encore chaude de l’appât que la police avait envoyé pour coincer la bête qui rôdait dans la banlieue pauvre de Köln. L’appât s’appelait Sophie, elle était fonctionnaire de police et avait à peine 22 ans, et le juge lui fit prendre une peine exemple, rebuté et passablement écœuré par les accusations et la nature de la dernière victime que l’incompétence de ses supérieurs avait perdue.

Pouh, j'm'attendais pas à une telle tartine XD

► Pourquoi êtes vous condamné ? : Meurtres (on va dire une vingtaine), anthropophagie, et autres joyeusetées. Insulte à magistrat, détérioration de bien publics, et on en passe.


► Pseudo ou Surnom : ah aah!
► Comment avez-vous connu le forum ? : une pub.

Le code c'est "le code"? Ben ça va, ils se sont pas cassé le bonnet pour celui là *SBAM*
Code: Bon